L’empire Pokémon règne depuis 25 ans sur le RPG monster-taming, mais la concurrence n’a jamais été aussi féroce. Alors que Nintendo domine le marché avec ses licences iconiques, des studios comme Bandai Namco, Capcom ou Square Enix redéfinissent les règles du genre avec des innovations audacieuses. Tour d’horizon des challengers qui bousculent le géant jaune.

Les licences historiques contre-attaquent

Dans l’ombre de Pikachu, d’autres franchises cultes resurgissent avec des remakes et suites inattendues :

• 🎮 Digimon (Bandai Namco) : Le dernier opus sur Switch a écoulé 1,5M d’exemplaires en 3 mois
• 🔥 Monster Hunter Stories (Capcom) : Le spin-off tactique dépasse les attentes avec son système de kinship stones
• 💎 Dragon Quest Monsters (Square Enix) : Le Dark Prince renoue avec la formule originelle des années Game Boy

L’effet “post-Pokémon Legends”

Le succès d’Arceus a libéré la créativité des concurrents. Ubisoft surprend avec DokeV, un open-world où les créatures s’inspirent du folklore coréen. Même Riot Games testerait un projet monster-taming dans l’univers de League of Legends.

L’essor des indés qui défient les codes

La scène indépendante explose avec des pépites qui revisitent le genre :

• 👾 Cassette Beasts (Bytten Studio) : 92% de critiques positives sur Steam
• 🌿 Monster Sanctuary (Moi Rai Games) : Un savant mélange de métroidvania et de combats tour-par-tour
• ⚡ Temtem (Crema) : Le MMORPG qui a convaincu 500 000 joueurs en early access

Le cas phénoménal de Palworld

Ce mix surprenant entre Pokémon et Ark Survival a vendu 8 millions d’exemplaires en 6 mois. Preuve que les joueurs veulent du nouveau, même si Nintendo reste intouchable sur les ventes pures.

Les géants occidentaux entrent dans l’arène

Activision prépare un projet secret codé “Monarch”, tandis que Bungie débauche des anciens de Game Freak. Même Sega ressort des concepts abandonnés de l’ère Dreamcast. La bataille des monstres capturables n’a jamais été aussi intense.

Source: www.jeuxvideo.com